Jusqu’au 13 octobre, le festival fête ses 20 ans cette année avec de nombreux films inédits, des avant premières, un ciné concert du Cabinet du Docteur Caligari à la Philharmonie de Paris, un focus sur le comédien Alexander Fehling et un film sur le groupe Scorpions en clôture. De nombreuses surprises en présence des réalisateurs et comédiens.
• Panorama Special 2013 •
Titre original : Burn It Up Djassa
France, Ivoire • 2012 • 1h10min
Presse internationale
Synopsis :
A Abidjan, Tony est un vendeur de cigarettes ambulant qui vit avec sa sœur. Le récit prend un tour tragique lorsque Tony poignarde un jeune homme lors d’une altercation. L’un des policiers en charge de l’enquête n’est autre que le frère de Tony…
Royaume Uni, Norvège, États-Unis • 2013 • 1h38
Presse internationale et française
Ventes internationales : Rouge international
Synopsis :
« A Spell To Ward Off The Darkness » – Un sort pour repousser l’obscurité – suit un personnage à trois moments distincts de sa vie : membre d’une communauté sur une petite île d’Estonie, ermite dans la solitude de la Finlande septentrionale, et chanteur d’un groupe de black-métal néo-païen en Norvège. Pris dans sa totalité, A Spell signale une proposition radicale pour la création d’une utopie au présent.
Avec le musicien Robert AA Lowe (LICHENS, OM) et co-réalisé par les artistes Ben Rivers (Royaume-Uni) et Ben Russell (Etats-Unis), A Spell se situe à la frontière de la fiction et de la non-fiction. C’ est à la fois un témoignage de l’expérience et une expérience en soi, une enquête dans la transcendance qui envisage le cinéma comme lieu de transformation profonde.
• Panorama Dokumente Berlinale 2013 •
Titre original : Fifi Az Khoshhali Zooze Mikeshad / Fifi howls fom happiness
Iran • 2013 • 1h38
Presse internationale
Synopsis :
Fifi hurle de joie témoigne des deux derniers mois de la vie de Bahman Mohassess, légende de l’art moderne iranien. Ce curieux Diogène contemporain, après un exil volontaire d’une trentaine d’années, s’apprête à réaliser son œuvre ultime. Celle-ci lui est commandée par deux admirateurs, artistes eux-mêmes, venus d’Iran. L’intrigue se dirige progressivement vers l’histoire de ce « chef d’œuvre inconnu ».